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(#) Sam 21 Sep - 12:42
[ à archiver ] Car pire que ça ce serais la mort.


Fiona, connu de ses amis et des autres pour être compétente mais aussi pour son caractère assez ... Enfantin. Et comme les sales gosses, Fiona ne peut pas resister à relever les défis les plus débiles et les plus bizarres qu'on a le malheur ( ou le bonheur ) de lui lancer. Et comment dire ? Cette fois ci, elle avait réagit sans réfléchir une seule seconde. Comme un gosse trop sur de lui. Et elle commençait à regretter sa connerie..

Quelqu'un avait lancé un "Et si toi et Fiona vous vous déguisiez pour venir au boulot demain ?". Puis la conversation avait continué, empiré et elle avait fini sur un "Si tu survis toute la journée avec ton costume Fio', je m'occupes de nettoyer l'enclos des singes pendant trois mois." Et Fiona avait hochée la tête, un air arrogant sur le visage.

Sauf que maintenant, elle était au parc, en tenue de "soubrette", avec des lot de préservatifs fluorescents et aux parfums fruités et qu'elle était sensée les distribuer comme des petits pains...
Bizarrement, elle sentait que cette journée allait être extrêmement longue et laborieuse.

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(#) Mar 24 Sep - 17:35
[ à archiver ] Car pire que ça ce serais la mort.

she said hey baby
take a ride on the wild side

Ce matin, un bonobo était tombé malade.
C'était la nouvelle qu'un apprenti vétérinaire catastrophé était venu apporter au premier supérieur du coin, en l'occurrence Delilah. Elle lui avait répondu que c'était fascinant mais qu'elle n'y pouvait pas grand chose, ce cas sortant de ses compétences. Le gamin paniqué finit par l'agacer prodigieusement et pour le faire taire elle proposa de s'en aller quérir un adulte à la hauteur de la situation. Les listes de la section médicale disaient qu'un jeune vétérinaire, du nom de Faure, était affecté au quartier ouest. Considérant longuement la photo d'identité jointe à son nom pour la repérer au plus vite, elle tourna les talons. Ce n'était absolument pas l'entrain qui l'étouffait et la tête que tirait Delilah en se rendant sur EP-1 en disait long sur son humeur.

Ses dossiers à la main, la médecin se dirigea vers le parc où elle s'autorisa un détour. Elle voulait purifier ses yeux las par la vision d'une sympathique nature verdoyante avant de s'atteler à une recherche fort peu passionnante. Lissant les plis de sa blouse en marchant d'un pas traînant, elle fut brusquement interpellée par quelque chose de peu habituel. Cette chose était une jeune femme - de petite vertu apparemment - qui exhibait une tenue débauchée jurant très spécialement avec les sweats et les joggings des paisibles promeneurs du parc.
Et son visage lui était très familier.

Delilah n'haussa pas les sourcils ni ne leva les yeux au ciel. L'expression inscrite dans le marbre de son visage était la même que tout à l'heure et elle s'avança sans ciller vers la soubrette qui, de toute évidence, distribuait des grappes de préservatifs à tour de bras.
A vrai dire, on aurait pu se demander s'il était normal qu'elle ne soit pas, je ne sais pas, plus perturbée que ça par cette vision pour le moins curieuse, de si bon matin. Il était de notoriété publique que le docteur Landfield était un peu étrange.

Arrivant à sa hauteur, elle s'adressa à elle d'une voix très douce.

— Bonjour. Elle attrapa froidement un emballage "goût pomme". Ne me dites pas que vous êtes mademoiselle Faure.


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(#) Jeu 26 Sep - 5:56
[ à archiver ] Car pire que ça ce serais la mort.

Fio' soupirait comme un buffle en plein travaux depuis une heure déjà. On lui avait posé une bonne dizaine de questions salaces : "C'est combien ?" ou "Vous donnez quels services ?".
Pourtant ses vêtement n'étaient pas si courts, et on ne voyait même pas son nombril !
C'est ces seins là ! Ma mère aurait pu me léguer autre chose que ces seins ! Et elle se remit à soupirer, triturant un emballage de préservatif.

Malheureusement pour elle, elle reconnu la silhouette qui avançait vers elle, dossier en main. Madame Landfield. Elle ouvrit la bouche, pleine d'étonnement, se rendit compte à quelle point elle était ridicule et rit doucement. Puis elle se releva, un pointe d'inquiétude naissant dans sa gorge.

"Bonjour. Ne me dites pas que vous êtes mademoiselle Faure."

Le Docteur Landfield était plus gradé, bien plus que Fiona, plus ancienne aussi, bien plus que Fiona.
Avec le plus grand calme qui soit, elle répondit tranquillement. Comme si toute cette situation était tout a fait normale, la routine quoi:

"Madame, si je vous disais celà, je mentirais. Je suis bien le Dr Faure. Il y a un problème ?"

.. Pardon ? Fiona s'excusez de sa tenue ? Alors là, vous pouvez toujours courir.


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(#) Jeu 26 Sep - 16:48
[ à archiver ] Car pire que ça ce serais la mort.

candy came from out on the island
in the backroom she was everybody's darling

Le ton calme et serein de Fiona aurait pu être cocasse dans cette situation, mais sa supérieure ne semblait pas se bidonner beaucoup. Elle se contenta de lui rendre le préservatif vert fluo et de mettre les mains dans les poches. Évidemment il s'agissait de la vétérinaire. Le dossier disait qu'elle avait pris ses fonctions relativement récemment ; en était-elle encore à la phase bizutage ?

— Oh tout dépend du point de vue mais paraîtrait-il qu'un babouin est tombé malade.

Elle en sortit négligemment une paire de lunettes en demi-lune et un chiffon microfibre.
Elle porta la paire à la hauteur de sa tête, et entreprit d'essuyer précautionneusement les verres. À y observer de plus près, sous un rai blafard de soleil,
ils était incrustés de sang.

Elle considéra un petit instant la monture d'acier avant de poser les lunettes sur l'arête de son nez. Son regard était désormais affûté, et elle pouvait transpercer mademoiselle Faure à loisir avec les deux scalpels qu'étaient ses yeux noirs. Elle s'avança plus près d'elle et considéra un instant ses jupons de soubrette, puis sa coiffe en dentelle ;
sans prévenir elle approcha sa main et remis en place l'une des longues mèches sombres de sa cadette.

— Où était-ce un macaque ? Elle parut absorbée dans sa réflexion, ajustant doucement les lunettes du bout de l'annulaire. Ce n'est pas de mon ressort. Vos compétences sont demandées au mini-zoo.

Sa voix doucereuse s'éteignit sur ce fait.


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(#) Jeu 26 Sep - 17:23
[ à archiver ] Car pire que ça ce serais la mort.

Fiona profita du moment de réflexion de la femme qu'elle avait en face d'elle pour essayer de remettre un nom sur cette tête. Assurément, cette femme travaillait en médecine, elle l'avait déjà vu dans les couloir des locaux de la médecine. Mais impossible de se rappeler son nom. Or c'était assez embarrassant uisque cette femme était sa supérieur hiérarchique..
Mais bon, on ne peut pas toujours tout savoir, hein ?

"Oh tout dépend du point de vue mais paraîtrait-il qu'un babouin est tombé malade."

.. huh ? Fiona jeta un regard interrogateur sur cette étrange femme. Les mains sur les hanches, elle oublia un instant qu'elle était en tenue affriolante, devant un stand plein de préservatifs et de notes sur l'éducation sexuelle. Un instant elle oublia que quand elle relevait un peu trop ses bras, le costume se relevait lui aussi. Et pas au bon endroit.

Absorbée par ses pensées, inquiètée par la récente nouvelle, elle ne vit pas approcher la Brune. Et quand elle sentit ses cheveux bouger, elle se figea. Stupéfaite.
Les yeux ronds et grands ouverts, elle se dit que cette femme était sérieusement flippante. Flippante, flippante, flippante. Fiona déglutit lentement. Elle n'aimait pas particulièrement qu'on touche à ses cheveux et elle n'aimait pas particulièrement cette femme.

"Où était-ce un macaque ? Ce n'est pas de mon ressort. Vos compétences sont demandées au mini-zoo."

Fiona regarda bizarrement ce qui avait une apparence d'être humain en face d'elle. Mais cette chose lui faisait un peu froid dans le dos, comme une gosse apeurée devant un truc qu'elle ne connaît pas.
Mais il ne fallait pas montrer de signe d'irrespect. C'est à ce moment précis qu'elle se rendit compte que le bas de sa jupe laissait entrevoir ses dessous.

En un instant, elle vira rouge pivoine, remit en place son costume et soupira.

"Hrm... Bien Madame. Je vais.. je prends.. Je crois - elle soupira - Je vais laisser ça là pour le moment, je me change et j'y vais de ce pas."

Et, nerveuse, parce qu'elle savait sa question impolie:

"Et sinon, hrm, je ne me souviens plus de votre nom Madame..."


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(#) Dim 29 Sep - 13:56
[ à archiver ] Car pire que ça ce serais la mort.

but she never lost her head
Even when she was givin' head

La médecin ne prêta pas grand intérêt aux réactions de Fiona, depuis le fait qu'elle était apparemment très touchée par la nouvelle au fait qu'elle sembla vite très perturbée par le geste de sa supérieure. Delilah aimait que les choses soient irréprochables, aseptisées ; il ne fallait pas lui tenir rigueur de cette petite obsession qui tenait du réflexe médical.
Et puis ce n'était pas comme si elle craignait de passer pour une tordue.

Mademoiselle Faure était visiblement embarrassée par sa propre tenue. Delilah avait tout le loisir d'admirer sa lingerie, mais à son expression détachée les dessous de la vétérinaire ne lui faisaient ni chaud ni froid. On ne pouvait pas en dire autant des rôdeurs alentours, qui épiaient Fiona du coin de l'œil avec des sourires grivois.

Le ton hésitant avec lequel elle lui répondit et sa question montraient bien qu'elle n'était ni à son aise, ni rassurée.

— Je ne veux pas vous presser. Vous avez peut-être plus urgent à faire en ce moment.

Delilah lui adressa un sourire formel. Soudain un garnement qui jouait tout près passa entre les deux femmes, se heurtant à la vétérinaire de plein fouet. Il se massa le crâne en élevant le regard sur ses courbes aguicheuses, et ses yeux brillèrent aussi sec.

— Wouaaah. Eh m'dame, je peux avoir un ballon ?

Devant cette intervention surprise Delilah ne fit qu'appuyer son sourire entendu, et croisa les bras d'un air conciliant.

— Donner des ballons aux enfants, par exemple. Elle ajouta d'un air distrait, Oh, je suis le médecin Landfield, au fait.


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(#) Dim 29 Sep - 17:00
[ à archiver ] Car pire que ça ce serais la mort.

Comment vous expliquer ce que ressentait Fiona en cet instant ?
Un genre de mélange atomique entre la honte, la panique et le fou rire. Elle avait envie de pleurer tant cette situation était embarassante. Et elle avait aussi très envie de rire. Pourquoi ? Aucune idée.
Figée, elle n'osait plus rien faire. Où ? Quoi ? Maintenant ?! Nan.

"Je ne veux pas vous presser. Vous avez peut-être plus urgent à faire en ce moment."

Fiona ne savait plus où donner de la tête. C'était urgent ou ça ne l'était pas ? Il en fallait si peu pour que sa tête soit un bordel que s'en était presque comique. mais la femme en face d'elle ne semblait avoir beaucoup d'humour. En fait, elle ne semblait même pas connaitre le sens du mot rire.. Fiona vous dirait que c'est un androide.
Paniquée pour rien, elle ne vit pas le gamin approcher. Elle ne se rendit compte de sa présence que lorsqu'il enfonça joyeusement le haut tête entre ses seins. Et cette femme qui la regardait. Fiona était sur le point de se liquéfier.

"Donner des ballons aux enfants, par exemple. Oh, je suis le médecin Landfield, au fait."

Fiona déglutit, puis regarda le gosse, qui arborait un sourire plus que malicieux. Elle soupira, se reprit et sourit. D'un geste, elle gonfla un préservatif, y fit un noeud et l'offrit à l'enfant.

"Tiens, maintenant t'as plus qu'a allez montrer ça à tes parents mon coeur."

Elle donna une petite tape sur sa tête et le regarda s'éloigner. Puis elle reporta son attention sur le Dr Landfield et resta muette quelque instants. Un soupir sortit de ses lèvres et elle dit :

"Dr Landfield, veuillez me pardonner. Je vais ranger tout ça et je vais y aller. Veuillez encore m'excuser pour.. tout ça."

Elle attrapa une veste et se la mit sur les épaules. Son travail avant tout, c'était un peu son mode de conduite. Elle avait beau avoir une tonne de défaut, elle ne rechignait jamais à faire son travail. Elle ésperait secrètement que son abnégation lui permettrait de grimper dans la hierarchie. Son rêve aurait été de gérer tout le service vétérinaire.. Une belle chimère.

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(#) Dim 29 Sep - 21:40
[ à archiver ] Car pire que ça ce serais la mort.

she says, hey babe,
take a walk on the wild side

Mademoiselle Faure paraissait déroutée ; était-ce la gradée qui lui faisait face qui provoquait ces émois ? Elle semblait entre la sueur froide et l'hilarité complète. Si Delilah avait été capable d'empathie, elle aurait eu de la compassion pour la vétérinaire déchirée entre tous ces pôles et lui aurait sans doute épargnée cette honte supplémentaire. Mais le ridicule ne tuait de toute manières pas.

Delilah la regarda se débarrasser du bambin en un tour de main, lui confiant un préservatif gonflé et des paroles doucereuses. Ce n'était pas ainsi qu'elle se figurait l'éducation sexuelle des gamins de son âge, mais si miss Faure n'avait aucun problème à se retrouver avec une horde de mères prudes scandalisées sur le dos... non, elle n'était pas du genre à s'offusquer, à rire où simplement à réagir devant ce genre de saynètes. De marbre était le mot qui convenait, parce que tout ce qui se passait présentement semblait lui glisser dessus.

"Dr Landfield, veuillez me pardonner. Je vais ranger tout ça et je vais y aller. Veuillez encore m'excuser pour.. tout ça."

Elle choisissait donc de privilégier l'orang-outang malade et de remettre à plus tard sa corvée, visiblement. Delilah n'avait aucune réserve à émettre à ce sujet, tant qu'elle s'exécutait. Toujours aussi formidablement expressive, elle lui adressa un signe de tête approbateur. Les paroles respectueuses de sa collègue semblaient signer ici la fin de leur entrevue.

— Mais pas de problèmes. Je suis sûre que mon nom est désormais imprimé là, lui fit-elle avec un sourire glacial, désignant le crâne de la jeune fille du bout de l'index. À vous revoir.

Sur ces mots qui laissaient peu de place à une poursuite de conversation, Delilah prit cordialement congé en accentuant son sourire torve. Qui sait, peut-être se recroiseraient-elle un peu plus tard dans les vastes locaux d'EP-2. Le docteur tourna les talons et disparut vers la sortie du parc. Dans son sillage les pans immaculés de sa blouse fendaient l'air matinal. Pour une première rencontre, c'était assez déstabilisant, fallait-il croire ?

(finito j'imagine !! >D)

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